Interrogé par RIA dans son numéro de janvier 2019, Christophe Monnier, directeur du département agroalimentaire chez Business France explique que c’est « le secteur des boissons qui serait le plus exposé à une séparation sans accord avec le Royaume-Uni ». Les menaces potentielles sont, selon lui, « l’instauration de droits de douane, des procédures d’importation plus complexes ou plus lentes et une probable dévaluation de la livre sterling ».
« Le Royaume-Uni est le second client de la France pour nos ventes de vins et spiritueux. Mais la France est également un importateur important de spiritueux britanniques. Ce vote porte préjudice à
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