« La hausse des ventes en grande distribution ne compense par la fermeture de la restauration ni les pertes de l’export », assène Jean-Michel Schaeffer, président de l’Anvol qui estime entre 8 et 10 % la baisse de la consommation globale de volailles en France. Tandis que les importations imposent une concurrence « agressive », l’interprofession de la volaille de chair estime que les stocks d’invendus atteindront 40 000 tonnes à la fin du mois de juin.
C’est pourquoi l’Anvol formule cinq revendications
L’enjeu est notamment de sauvegarder « la diversité des espèces et des modes d’élevage très particulière à la France ».
Déjà dans une situation de
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