Comme de nombreuses fédérations l’avaient réclamé, les entreprises agroalimentaires fournissant la restauration vont pouvoir bénéficier des mêmes soutiens que leurs clients : exonération de charges, fonds de solidarité, chômage partiel… C’est pour eux « une délivrance », se félicitent l’Ania, la Coopération agricole et la FNSEA. Elles demandent toutefois que les critères d’éligibilité à ces aides ouvertes à partir du mois d’octobre soient abaissés de 80 à 50 % de perte de chiffre d’affaires.
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