Après la dernière alerte lancée par , des pourparlers ont été entamés avec le volailler ukrainien MHP pour la reprise de Doux. Ce projet inquiète les représentants du personnel, qui craignent notamment la fermeture du site de Chantonnay, qui emploie 300 salariés en Vendée, ainsi que celle du siège de Châteaulin, dans le Finistère, avec une centaine de personnes. Même si MHP assure que la restructuration qu’il mènerait serait moins douloureuse, le gouvernement souhaiterait trouver une autre solution à laquelle travaille le Ciri (Comité interministériel de restructuration industrielle). Le repreneur ukrainien investirait 150 millions d’euros dans Doux, sous réserve de recevoir 70 millions…