Les Centres Leclerc ne sont pas parvenus à conclure un accord tarifaire avec Coca-Cola et ont décidé de proposer la bouteille de 1,5 litre à 1,15 euro, soit juste au seuil de revente à perte. Son fournisseur stoppe alors ses livraisons, obligeant le distributeur à s’approvisionner en important d’Europe de l’Est. Selon ce dernier, les revalorisations réclamées par Coca ne reposaient sur aucune hausse de coût ou de matière première. En outre, la marque américaine s’apprêterait à diminuer ses formats de conditionnement, en maintenant les mêmes prix de vente, « une seconde hausse de prix », s’étrangle Michel-Édouard Leclerc. Il vient d’annoncer son intention…
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