Après une rencontre avec l'ONG Foodwatch, Michel-Édouard Leclerc veut que les Centres E.Leclerc s'engagent « fortement contre la pollution cancérigène des emballages alimentaires ». Concernant les fournisseurs de marques nationales, il a « demandé à ce que l'on remette la pression et qu'à tout le moins, dans le cahier des charges des acheteurs, on prépare la prohibition des emballages pouvant contaminer par des MOAH et/ou dépassant des seuils de MOSH supérieurs à 2 mg/kg dans les aliments ». Mais la Scamark donnera l'exemple pour les MDD, promet-il.