Malgré l'indulgence dont a fait montre l'Autorité de la concurrence dans ses sanctions après avoir découvert une entente sur le marché de la volaille (), LDC estime que "les sanctions qui lui ont été appliquées apparaissent disproportionnées à la gravité des faits". Elles vont, selon lui, "peser sur une filière française déjà fragilisée par les importations, qui représentent 40 % des produits de volailles consommés sur le marché national". De son côté, le groupe Duc a également regretté cette sanction qui "impactera ses résultats (...) à un moment charnière de son plan de restructuration pour refinancer sa croissance et accroître sa
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