Outre l’impact de coupures sur l’activité des usines, l’Ania craint que le rationnement n’aggrave une situation déjà alarmante. L’Ania redoute « demain, des rayons vides si la production alimentaire n’est pas préservée coûte que coûte ». Les entreprises agroalimentaires se disent « très inquiètes pour le maintien de leur production » si le rationnement de l’énergie et les coupures…
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