Finalement, le ministère de l’Économie et des Finances a choisi de passer outre l’avis de l’Autorité de la concurrence. Cette dernière avait soumis deux conditions à la reprise de William Saurin par : la cession de la marque Zapetti ainsi que celle d’une usine. Étant donné « les circonstances exceptionnelles » de l’opération – les conditions du démembrement du groupe construit par Monique Piffaut, sur fond de fraudes comptables et de soutien de l’État –, Bruno Le Maire a décidé d’exempter Cofigeo de ces désengagements, « sous réserve d’un engagement relatif au maintien de l’emploi ». Il ajoute que « la stratégie industrielle dans laquelle…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.