C'est la solution proposée par Cofigéo et Arterris qui tient la corde pour la reprise de William Saurin (). La Financière Turenne Lafayette l'estime pertinente en raison « d'un plan d'investissement significatif et d'un projet industriel et catégoriel pertinent ». Elle espère boucler les cessions des différentes branches du groupe constitué par Monique Piffaut d'ici au mois…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.