« La crise est-elle encore devant nous ou déjà presque derrière nous ? » s’interroge Franck Sander, président de la CGB (Confédération générale des planteurs de betteraves). Après une précédente campagne sucrière calamiteuse, celle qui est en train de s’achever marque, si ce n’est une franche amélioration, en tout cas une stabilisation de la . Les résultats semestriels de en ont, à leur manière, témoigné.
Malgré une baisse des surfaces de 6 % à 451 000 hectares, la durée de campagne dans les sucreries s’est maintenue à 113 jours.
« Le pire est derrière nous », veut croire Pierre Rayé, directeur général de la CGB. Mais cette
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