« Depuis cinq ans, la consommation de volailles était portée par la RHD », rappelle Jean-Yves Ménard, président du CIPC (Comité interprofessionnel du poulet de chair). La crise du Covid-19 a interrompu cette dynamique. Première conséquence : , malgré les + 5,9 % enregistrés dans les ventes de détail. Deuxième conséquence : durant les sept premiers mois.
Depuis une vingtaine d’année, ces dernières sont les grandes rivales de la filière française, représentant 44 % du marché hexagonal du poulet. Mais leur concurrence ne s’est affaiblie que pour un temps. « Les importations sont déjà reparties, notamment en provenance du Brésil », note Gilles Huttepain, vice-président de
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