« Fleury Michon met fin à son adhésion à la Fédération des industries charcutières, traiteurs et transformatrices de viandes et démissionne de ses fonctions au sein de son bureau. » Bref, l’entreprise vendéenne claque la porte de l’association représentative de son secteur, dont « les positions ne sont plus en adéquation avec les ambitions du groupe ». C’est qui a sans doute cristallisé ce désaccord. Fleury Michon l’a adopté dès son origine tandis que ses confrères y restent généralement hostiles, à commencer par sa rivale Herta, dont la maison-mère Nestlé continue de promouvoir un autre système (le Nutricouleurs), prônant l’échelon européen. Plus profondément, c’est…
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