Regroupant 350 entreprises brassicoles, le Syndicat national des brasseurs indépendants n’apprécie guère l’attitude de l’association Brasseurs de France qu’elle taxe d’être « le lobby des multinationales ». La dernière initiative de cette dernière, le logo « », passe mal : « nous ne laisserons personne kidnapper l’appellation de notre métier ni contrôler l’accès à notre profession », proteste Jean-François Drouin, son président. Par ailleurs, le SNBI prépare avec des homologues européens la constitution d’une confédération, déniant la représentativité de Brasseurs de France.
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