Entre mars et avril, . La tendance s'aggrave donc depuis que Syndilait a déjà tenté d'alerter sur cette situation (). Le syndicat amplifie son , notamment à l'égard des enseignes et des grossistes, ainsi que de l'État, pour qu'il facilite l'achat de lait français, notamment dans la restauration, et des consommateurs, invités à choisir les conditionnements porteurs du logo « Lait collecté et conditionné en France ».
De son côté, l'Atla (Association de la transformation laitière française) estime les cours mondiaux à 245 euros seulement les mille litres. Elle évoque le marché chinois, qui a réduit de moitié ses achats de poudres grasses
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