« Les crises accélèrent les tendances déjà émergentes dans le monde entier, ce qui nous encourage à amplifier l’application de notre feuille de route », explique Alexandre Ricard, PDG de Pernod Ricard. Après un premier semestre qualifié de « solide », avec une chute de ses ventes de 37 % d’avril à juin. , à 8,5 milliards d’euros, et son résultat…
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Connectez-vous ou abonnez-vous pour y accéder.