Surprise à la fin du mois de juillet, le Conseil d’État a décidé de suspendre le décret réservant les dénominations traditionnelles des viandes aux seuls produits carnés. Toutes les organisations agricoles et des filières animales se sont dit « abasourdies » par « ce nouveau coup dur porté à l’élevage ». Sans prendre position sur le fond, le Conseil d’État a donné raison à Protéines France qui estimait ne pas avoir le temps de se réorganiser d’ici au 1er octobre prochain, date de l’entrée en vigueur de ce décret.