Dès la victoire du non au maintien du Royaume-Uni dans l'Union européenne, l'Ania a publié une note pour tenter d'en évaluer les conséquences pour l'agroalimentaire. Y sont destinées 14 % des exportations françaises, soit 6,2 milliards d'euros environ. La dépréciation de la livre sterling, le rétablissement de droits de douane, voire la constitution de barrières non tarifaires…
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